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Le Trias Ère Mésozoïque ou ère secondaire

Le Mésozoïque ou ère secondaire

Trias Vidéo : Le Trias -

L’ère du Mésozoïque, aussi appelée “l’âge des reptiles”, est l’époque où les reptiles terrestres et marins deviennent les maîtres incontestés du monde animal. Cette ère voit également d’immenses changements.

Le niveau des mers s’élève puis s’abaisse, et la Pangée, super continent géant, se morcèle lentement, l'océan Atlantique apparaît... dans la douleur.

Le Mésozoïque prend fin avec la plus célèbre des disparitions de masse : la chute d'une météorite dont le cratère est localisé à Chicxulub au nord de la péninsule du Yucatán au Mexique.

Le Mésozoïque se divise en trois périodes

Mésozoïque Crétacé - 5ème extinction
Jurassique
Trias - 4ème extinction
Edaphosaure du trias Edaphosaure

Le Trias 1ère période du Mésozoïque (± -251 à -200 Ma )

Trias, terme provenant de l'ancien nom donné à la période comprenant les trois âges du mésozoïque.

Le Trias ! Quelle période mémorable, une période clé dans l’histoire de la Terre. La grande extinction du Permien qui clôture l’ère paléozoïque s’achève laissant une planète exsangue en terme de biodiversité. On estime que 90% de la vie, terrestre et marine confondue a disparue à tout jamais.

Ainsi débute l’ère mésozoïque et par extension le Trias. La Terre est alors une vaste planète quasiment vierge qui reste à conquérir. Les survivants de la grande extinction ont maintenant le champ libre pour se développer, évoluer et se diversifier. Une nouvelle ère commence…

A lire...

Notre histoire commence il y a, en chiffres rond, 250Ma (252Ma), c’est le début d’une nouvelle ère, l’ère Mésozoïque, et celle-ci s’ouvre donc avec le Trias.

Le Trias est la plus courte période du mésozoïque, elle va s’étendre sur environ 50Ma, à 1 ou 2Ma près, et se découpe en trois époques, elles-mêmes divisées en sept étages stratigraphiques.

Étages nommé en fonction de là ou furent étudiées leurs traces géologiques respectives. Par exemple, l’étage Indusien doit son nom au fleuve Indus qui prend sa source dans l’Himalaya pour aboutir en mer d’Arabie. Fleuve qui au passage a donné son nom à l’Inde qu’il traverse.

Cependant pour rester simple, nous nous contenterons de parler du trias inférieur, moyen et supérieur. Quant au nom Trias par lui-même, il provient des trois étages que l’on retrouve en Europe. (Buntsandstein, Muschelkalk et Keuper).

Le Trias se divise en 3 époques et 7 étages

Période

Époque

Étage

Trias

4ème extinction
Permien
Trias supérieur (Keuper) Rhétien ~208,5 Ma
Norien ~227 Ma
Carnien ~237 Ma
Trias moyen Ladinien ~242 Ma
Anisien ~247,2 Ma
Trias inférieur (Scythien) Olenekien ~251,2 Ma
Indusien ~251,9 Ma

Géographie

Carte géologique du Trias

Du point de vue paléo géographique , la planète continuellement en effervescence depuis sa formation, a vu lors du paléozoïque, l’ère précédente, se réunir sous la contrainte des forces tectoniques, l’ensemble des grands continents du Paléozoïque qui ont dériver pour finalement former l’emblématique supercontinent Pangée.

A ce moment de l’histoire, la Terre porte bien mal son nom, c’est une planète océan, et au cœur de ce vaste océan nommé Panthalassa (toutes les mers), « flotte » un immense continent totalement esseulé. Un immense continent totalement esseulé renfermant en son sein une grande mer intérieure, le paléo océan Téthys.

Ainsi le supercontinent qui s’est formé durant l’ère paléozoïque, va tout au long du Mésozoïque se disloquer, pour à terme lui donner la configuration que nous lui connaissons. C'est un des grands évènements qui va marquer cette période. Et cela commence au Trias supérieur lorsque sa côte Est, aux pieds de la chaîne Hercynienne une faille apparait et morcelle le continent, les eaux de la Téthys s’y engouffrent ouvrant une large voie d’eau que nous appellerons plus tard océan Atlantique nord.

C’est cette large voie d’eau qui divisant le supercontinent Pangée donne naissance aux deux grands continents du Mésozoïque, la Laurasie et le Gondwana.

De ce fait l’océan Téthys s’agrandit, cette gigantesque mer intérieure et ses hauts fonds vont devenir un véritable vivier pour la faune marine de cette période. Une faune marine qui va connaitre un essor fulgurant dans les eaux chaudes de ce nouvel océan baigné de soleil.

Et en parlant d’eaux chaudes et de soleil, cela nous amène à parler climat !

Climat

Question climat, ça ne diffère pas drastiquement du Permien, la période précédente, sans aucune calotte glaciaire pour « climatiser » la planète, il fait chaud.

Partons du postulat que durant cette période, le taux d’oxygène dans l’air est plus faible que de nos jours, environ 80% par rapport à aujourd’hui, la température moyenne est d'à peu près 17°C pour 14°C actuellement, et le taux de CO2, est environ six fois plus élevé qu'aujourd’hui. En bref la Terre est une immense serre. Tout ce que nous redoutons aujourd’hui.

Toutes les terres étant réunies, mis à part le littoral humidifié par l’océan, l’intérieur des terres est sec voire aride, seule l’immense chaîne de montagne qui traverse le supercontinent de part en part, la chaîne Hercynienne (ou chaîne Varisque) influe sur le climat pangéen. Cette chaîne de montagne a vu le jour lors à la collision des deux continents du Paléozoïque (Laurussia/Protogondwana). La rencontre des deux plaques lithosphériques a provoqué un phénomène de subduction. Comprenez qu’une des plaques s’est enfoncée alors que l’autre l’a chevauchée, provoquant ainsi l’orogénèse Hercynienne, la formation de la chaîne de montagne.

Pour faire simple et sans entrer dans le détail, à l’instar des grandes chaînes de montagnes actuelles, comme l’Himalaya ou la cordillère des Andes, la hauteur de ces montagnes bloquent les nuages et provoques des précipitations, influant ainsi sur la météo de la région concernée. De fait, au cœur de la Pangée, d’une part et d’autre de la chaîne de montagne le climat était soit chaud et humide, en raison des pluies provoquées par les nuages et les précipitations qu’ils engendrent, soit chaud et aride, puisque aucuns nuages, et donc aucunes précipitations.

C’est ce même phénomène que l’on retrouve à moindre échelle en Afrique du sud où la côte est chaude et humide alors que derrière les montagnes du Swartberg s’étend l’immense désert sec et aride du Karroo. Et cela se confirme en regardant le registre fossile du trias. Comme nous pouvons le constater, la grande majorité des fossiles du trias sont concentrés dans l’hémisphère nord, autrement dit les anciennes terres de la Laurasie.

On peut donc en déduire que le sud de la Pangée était sec et aride alors que le nord, le versant nord de la chaîne Hercynienne arrosé par les pluies était chaud et humide et en partie recouvert de végétation. Un climat bien plus propice au monde animal et végétal… D’où la profusion de fossiles dans le registre.

Végétation

Euparkeria - trias Euparkeria

A cette époque, les angiospermes, les plantes à fleurs, n’étant pas encore apparus, seul les mousses, les gymnospermes, les plantes à graines et autres ptéridophytes comme les fougères, prêles et lycopodes verdissent la planète. Certes, tout comme pour la faune, l’extinction Permienne a eu un impact sur la végétation, la flore du paléozoïque a elle aussi subie de plein fouet la terrible crise, et de vastes régions furent dévastées, néanmoins l’impact sur le monde végétal fut moindre, beaucoup moins brutal que sur le règne animal et les végétaux de cette période furent beaucoup moins affectés.

Cependant, certains n’en réchapperont pas comme Sigillaria, les sigillaires du Dévonien / carbonifère que l’on connait par leurs magnifiques troncs fossilisés. Disparaissent aussi les Lepidodrendon eux aussi présent depuis le Dévonien ou encore l’espèce Pecopteris, une fougère elle aussi apparue au Dévonien et l’emblématique Glossopteris qui permit à Alfred Wegener d’étayer sa théorie de la dérive des continents.

Mais dans l’ensemble, la flore résiste mieux que la faune à la terrible crise et en quelques milliers d’années la végétation est de nouveau florissante sur le supercontinent Pangée.

La faune

Coelophysis-trias Coelophysis

Il faut considérer le Trias inférieur, comme une période de transition pour la faune survivante. Car suite à l’extinction Permien / trias, 90% des espèces marines et terrestres confondues ont disparues laissant ainsi libre un grand nombre de niches écologiques. De facto, cela va permettre aux espèces survivantes de pouvoir s’épanouir et conquérir ces niches écologiques désormais vacantes. Aussi les animaux vont se déplacer et découvrir de nouveaux environnements.

Les animaux conquièrent et s’installent dans de nouveaux environnements, et au cours du temps qui passe vont s’adapter, évoluer, se diversifier et par conséquent, amener à l’émergence de nouvelles espèces, c’est une radiation évolutive, les espèces s’adaptent, évoluent, mutent et donne naissance à de nouvelles adaptées à une plus grande variété d’environnement.

On parle ici de spéciation, des espèces qui subissant leur nouvel environnement, au fil des générations donnent lieu à de nouvelles espèces. Ainsi se crée de nouvelles branches à l’arbre buissonnant de la vie. En d’autres termes, il s’agit d’évolution… tout simplement !

Dans les mers et océans du Trias

Dans les mers, et les océans en général où l’extinction a été la plus dévastatrice, poussant le curseur des espèces disparues à 95%. Parmi elles, les étonnants trilobites, après avoir arpenté les fonds marins pendant plus de 250Ma, ces emblématiques arthropodes marins du paléozoïque ont définitivement disparus. Apparues au Dévonien, il y a déjà plus de 100Ma au moment de notre histoire, ces céphalopodes seront indissociables de la toute la période mésozoïque, seul un astéroïde et ses conséquences en viendront à bout. Et si je vous dis tout ça, c’est parce ces animaux ont été, dans l’histoire de la paléontologie « les meilleurs amis » des chercheurs étudiant le mésozoïque.

Les ammonites furent si nombreuses et si diversifiées à travers les âges, que certaines régions autrefois immergées, (comme une partie de la France) grouillent littéralement de leurs fossiles.

Aussi, elles ont été étudiées sous tous les angles et sont devenues ce que l’on appelle des « marqueurs stratigraphiques ». Entendez par là, que lorsque on découvre une ammonite dans une couche stratigraphique donnée, en fonction de son espèce, on est en mesure de savoir, à quelques milliers d’années près, l’âge de la roche dans laquelle elle fut découverte. C’est une véritable chance pour les géologues datant les roches d’un endroit spécifique.

Comme après chaque extinction la vie reprend son court, évolution, diversification, etc... Les coraux modernes apparaissent, les mollusques et autres « poissons » sont de plus en plus nombreux, bref quelques milliers d’années plus tard, c’est à nouveau foisonnant de vie. Dans cette nouvelle biosphère marine, nous retrouvons les chondrichtyens, lointains cousins de nos requins modernes. Leur diversité s’est amoindrie et leur grand âge d’or est désormais derrière eux. Comme nous le dit Gilles Cuny dans son excellent ouvrage consacré à cette lignée « Plus jamais ils ne retrouveront le niveau de diversité qu’ils avaient connu au Paléozoïque ».

Néanmoins ils connaitront un nouvel âge d’or, plus tard au crétacé car certains survivent, probablement en se réfugiant dans les grands fonds, mais il faudra attendre pas moins de 35Ma pour qu’ils retournent vers la surface et que l’on recommence à retrouver leurs fossiles. Les plus nombreux au Trias et au mésozoïque en général, sont les Hybodontes (Lissodus africanus, Lissodus cassangensis), des poissons à l’origine d’eau douce dont les fossiles furent retrouvé sur le continent africains.

Toutefois, si au Trias inférieur les Hybodontes sont de petites tailles, quelques dizaines de centimètres (20/30cm) se nourrissant des petites proies, dès les Trias moyen ils atteindrons des tailles respectables avoisinant les trois mètres de long et leur régime alimentaire sera tout autre. En effet, en l’espace de quelques Ma, ils se diversifient s’adaptent à la salinité du littoral et les restes fossiles, majoritairement des dents, nous démontre qu’ils avaient développé deux grands types de denture, le type arracheur comme chez le genre Hybodus et le type broyeur comme chez Acrodus ou encore Asteracanthus.

Dès lors ils occupent le sommet de la chaîne alimentaire des océans de cette époque. Néanmoins, la liste n’est pas exhaustive et il y eu d’autres survivants dans la lignée comme les Xénacanthes, ou le genre Listracanthus.

Quoi qu’il en soit comme je vous le disais, les chondrichtyens d’alors, lointains cousins des requins actuels se retrouvent étant au sommet de la chaîne alimentaire des océans de cette époque. Mais c’est sans compter les nouveaux venus… Les reptiles, les reptiles marins.

Les reptiles marins

Ichthyosaures

En effet, c’est au cours du Trias inférieur que les mers du globe voient les reptiles marins prendre leur essor. Comme nous le dit la spécialiste française des reptiles marins sur ce graphique, nous voyons plusieurs familles émerger. Et effectivement le Trias se caractérise par une diversité importante de reptiles marins, cependant nous pouvons constater que certaines familles ne feront pas long feu, c’est le cas des Placodontes (placodontia), des reptiles marins durophages, se nourrissant de proies dures, crustacés, mollusques à coquilles, ce genre de choses.

Ou encore, des Thalattosauriens (à ne pas confondre avec les Thalattosuchiens lointains cousins des crocodiliens !) des Nothosaures dont la population explose littéralement au cours du Trias moyen. Une explosion de diversité qui sera néanmoins assez brève et qui aura connu une existence somme toute assez courte. Mais tout de même plus longue que celle des Hupehsuchiens, un groupe proche des Ichthyosaures que l’on pourrait qualifier de tentative avortée de l’évolution tant leur passage sur Terre fut de courte durée.

Ichthyosaure : du grec : poisson lézard

Sarcosuchus trias Sarcosuchus

Au final, les grands gagnant de cette diversité marine du début du mésozoïque seront les Ichthyosaures, les reptiles marins emblématiques du Trias, leur règne va quasiment traverser toute l’ère mésozoïque pour finalement s’éteindre au cours du Crétacé supérieur… pour des raisons qui nous sont encore inconnues à ce jour, mystère !

Quoi qu’il en soit retenez que durant Trias la faune marine en général, était surtout côtière, ce n’est que plus tard lorsque le continent Pangée se disloquera que la faune marine se dispersera et colonisera la haute mer.

Sur la terre ferme

Sur la terre ferme après la crise, au Trias inférieur ce sont les familles survivantes qui sont encore les plus répandues, ainsi au sommet de la chaîne alimentaire ce sont les Rauisuchiens, des reptiles archosauromorphes qui dominent. Et parmi les archosauromorphes, certains, les plus basaux du groupe engendrent les archosaures, ainsi de cette lignée au Trias moyen émergent les premiers ptérosaures (Eudimorphodon), des reptiles volants insectivores d’environ un mètre d’envergure, qui viennent supplanter les reptiles planants apparus au Permien.

Placerias - trias Placerias

Les archosaures ne sont pas des dinosaures bien que certains présentent des ressemblances frappantes.

Quelques mètres plus bas sur la terre ferme, la lignée archosaurienne engendre également les premier crocodyliformes à l’origine des futurs crocodiliens, et parallèlement, un peu plus tard au Trias supérieur, cette même lignée d’archosaures donne naissance aux premiers dinosaures.

Bien entendu, au Trias les dinosaures ne sont pas encore des géants, tout du moins pour les prédateurs. Certains sont de petites taille comme l’Eoraptor d’Argentine mesurant un mètre de long, d’autres sont un peu plus grand, à l’image du véloce Coelophysis américain avec ses deux mètres de long, et d’autres encore plus grand avec l’Argentin Herrerasaurus et ses 4/5 mètres de long.

Coelophysis : du grec : forme creuse (Os creux)

Eoraptor : du grec : Chasseur de l'aube

Les plus grands et qui sont aussi les plus nombreux sont, comme souvent les herbivores, et le dinosaure herbivore emblématique du Trias, c’est Plateosaurus. Un animal d’environ une dizaine de mètre de long pour les grands spécimens. Un animal qui au passage arpentait notre pays, il y a de cela environ 200Ma.

Les mammaliens

Un petit mammifère long d'environ 17 cm, voici à quoi devait ressembler le plus lointain de nos ancêtre. Rugosodon eurasiaticus

Pour conclure, du côté de la branche « mammalienne », les plus nombreux sont les thérapsides, les dicynodontes, à l’instar de Lystrosaurus ou encore de l’énorme Lisowicia qui perdurera jusqu’à la fin du Trias. Et si ces animaux parviennent tant bien que mal à traverser la période triasique, ils déclinent inexorablement, car au cours du Trias l’arbre buissonnant de la vie voit l’émergence de nouvelles branches, particulièrement celle des Cynodontes qui seront très nombreux.

Ainsi vers la fin de la période, de la branche des thérapsides émergent les premiers mammaliaformes (Megazostrodon, Morganucodon, Adelobasileus), de très proches cousins des mammifères, mammifères qui eux apparaitront au Trias supérieur et se diversifieront au court du Jurassique. Et ça j’en ai déjà parlé…

Nous voici donc arriver au terme de notre histoire, au climax du Trias, l’extinction. Cela dit, je ne vais pas m’étendre sur le sujet, car au bout du compte dans le détail nous n’en savons pas grand-chose, et bien souvent ce que l’on nous raconte, n’est que pure spéculation plus ou moins fantaisiste.Nous savons qu’il y eu une extinction, le registre fossile nous le démontre très clairement, cependant Quid de la cause de l’extinction ?

Lisowicia - trias Lisowicia bojani

La Pangée étant en train de se fracturer, l’hypothèse la plus probable serait le volcanisme, phénomène qui aurait libéré de grandes quantités de méthane et de CO2 entrainant un réchauffement global. Certains parlent d’un impact de météorite, bref toujours est-il qu’on estime que la crise aurait emporté 80% des espèces marines et terrestres confondues. Et comme nous l’avons vu, suite à une extinction de masse, s’ensuit une radiation évolutive des espèces survivantes, certaines niches écologiques s’en sortent mieux que d’autres.

En l’occurrence cette fois-ci, les grands gagnants seront, vous vous en doutez bien, les dinosaures.

Dinosaure : du grec : grand lézard
Le terme "dinosaure" apparaît en 1842. Cette appellation signifie "lézard terrible".

Lire la suite : "L'extinction massive du trias"

 

 Proterosuchus - trias Proterosuchus
Le Postosuchus - trias Postosuchus
Postosuchus - trias Postosuchus

Dernière mise à jour le 04/03/2022
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