« J’avais acquis une certaine renommée et gagné un surnom dont on usait parfois : " Krieghund " »
1631 : C’est un pacte diabolique qui scelle le destin du « chien de guerre », puisque Lucifer en est l’artisan. La quête d’Ulrich von Bek va le conduire entre l’Enfer et le Paradis.
1794 : Manfred von Bek, député de la Convention à Paris, fuit la terreur et traverse l’Europe jusqu’au Mirenbourg de la Mittelmarch, la Cité des étoiles d’automne.
« Faites œuvre du diable », telle est depuis près de deux cents ans la devise des von Bek.
Librairie l’Atalante 2001